Champagne-Vigny
Champagne-Vigny (appelée Champagne-de-Blanzac avant 1983) est une commune française, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Champagne-Vigny | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | CC des 4B Sud-Charente | ||||
Maire Mandat |
Patrice Chappa 2023-2026 |
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Code postal | 16250 | ||||
Code commune | 16075 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
238 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 30′ 30″ nord, 0° 02′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 160 m |
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Superficie | 8,31 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Charente-Sud | ||||
Législatives | 2e circonscription de la Charente | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
modifierLocalisation et accès
modifierAux portes du Sud Charente, Champagne-Vigny est une commune du Blanzacais, située à 3,5 km au nord de Blanzac-Porcheresse et 18 km au sud-ouest d'Angoulême.
Champagne est aussi à 9 km de Mouthiers, 12 km de Châteauneuf et de La Couronne, 15 km de Barbezieux[1].
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierLa commune est située dans les coteaux calcaires de type crétacé, sur une cuesta faisant face au nord-est et qui s'étend à l'ouest à Jurignac et jusqu'au sud de Cognac, et à l'est à Juillaguet, Gurat, Verteillac…
On trouve le Santonien sur les zones basses de la moitié nord de la commune. Le reste de la commune est occupé par le Campanien, qui est un calcaire encore plus crayeux. La cuesta, peu marquée dans la commune, passe entre le Campanien1 et Campanien2 au sud du bourg de Champagne (ligne le Luc - la Charbonnière). Cette région vallonnée de la Charente s'appelle la Champagne charentaise[2].
On trouve une petite zone d'argile sableuse du Tertiaire sur un sommet au sud-est de chez Rullier. Les fonds de vallées sont occupés par des alluvions du Quaternaire[3],[4],[5].
Le point culminant de la commune est à une altitude de 160 m, situé en limite nord-est, mais de nombreuses collines autour du bourg principalement au sud dépassent les 150 m. Le point le plus bas est à 78 m, situé le long de l'Écly en limite ouest. Le bourg, situé sur une légère hauteur dominant la vallée de l'Écly, est à 100 m d'altitude[6].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Ecly et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8],[Carte 1].
L'Écly, affluent du Né en rive droite et sous-affluent de la Charente traverse la commune d'est en ouest et passe au pied du bourg.
De nombreuses sources et fontaines sont disséminées dans la commune, comme la Font Ladre en limite sud, alimentant un ruisseau intermittent se dirigeant vers le Né en amont de Blanzac, ou au pied du Maine Giraud se dirigeant vers l'Écly. Un autre ruisseau intermittent traverse le nord de la commune[6].
Gestion des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
modifierComme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Champagne-Vigny est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70 %), cultures permanentes (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), forêts (6,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Hameaux et lieux-dits
modifierComme toutes les communes charentaises, Champagne-Vigny possède un habitat dispersé et compte de nombreux hameaux et fermes : le Mas, l'Obre, les Quillets au nord, la Charbonnière à l'est, Lussaud, le Maine-Giraud au sud, le Luc à l'ouest, etc.[6].
Habitat et logement
modifierEn 2015 et 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 116, alors qu'il était de 96 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 85,9 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 11,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,2 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Champagne-Vigny en 2020 en comparaison avec celle de la Charente et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,5 %) inférieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,8 % en 2015), contre 66,9 % pour la Charente et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Champagne-Vigny[I 2] | Charente[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 85,9 | 83,1 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,5 | 6,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,6 | 10,6 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune est traversée par la D 7, route de Brossac à Hiersac qui dessert le bourg, qui va au sud à Blanzac et au nord à Claix, Roullet-Saint-Estèphe et la N 10 (Angoulême - Bordeaux) par un échangeur (à 8 km du bourg). Un réseau de routes secondaires la relie aux communes voisines[6].
Risques naturels et technologiques
modifierLe territoire de la commune de Champagne-Vigny est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par ruissellement et coulée de boue, notamment l'Écly. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2018[17],[15].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 118 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 118 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Toponymie
modifierUne forme ancienne est Campanha en 1298, Campania en 1319[20].
L'origine du nom de Champagne vient du latin campania (dérivé de campus, champ) désignant un pays plat et découvert ou une plaine fertile[21],[22].
Créée Champagne en 1793, la commune est devenue Champagne-de-Blanzac en 1956[Note 2] puis Champagne-Vigny en 1983, en l'honneur d'Alfred de Vigny, le célèbre poète, ancien propriétaire du Maine-Giraud[Note 3],[23].
Histoire
modifierLes registres de l'état civil remontent à 1606.
L'ancien fief du Maine-Giraud appartenait à la baronnie de Blanzac, en Angoumois. Cette propriété a appartenu au XIXe siècle à Alfred de Vigny, qui y résidait souvent.
Le logis de Lussaud dont il subsiste quelques tours était aussi un fief dépendant de la baronnie de Blanzac.
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Blanzac, et un arrêt était situé à 800 mètres du bourg[24].
Administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Angoulême du département de la Charente.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Blanzac-Porcheresse[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de la Charente-Sud
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Charente.
Intercommunalité
modifierChampagne-Vigny était membre de la petite communauté de communes du Blanzacais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes des 4B Sud-Charente, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
modifierJumelages
modifier- Mathry (Pays de Galles) depuis 1988 dans le Pembrokeshire
- Central City (États-Unis) depuis 1992 dans l'État du Colorado
Équipements et services publics
modifierEnseignement
modifierL'école est un RPI entre Bécheresse et Champagne-Vigny, qui se partagent les deux écoles élémentaires[28],[29].
Équipements culturels
modifierLe Centre national Alfred-de-Vigny, situé à côté de la mairie, est une salle polyvalente à caractère culturel (scènes théâtrales, animations)[30].
Le musée Alfred-de-Vigny, lui, est situé au logis du Maine-Giraud.
Démographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2021, la commune comptait 238 habitants[Note 4], en évolution de −6,3 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 122 hommes pour 121 femmes, soit un taux de 50,21 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierAgriculture
modifierSur le territoire de la commune, classée dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac des Fins bois[36], s'étendent aujourd'hui 90 ha de bois et 700 ha de terres cultivées[37].
Économiquement, la viticulture domine et ses huit domaines de production façonnent le paysage. Trois exploitants commercialisent eux-mêmes leurs produits et pratiquent la vente à la propriété (cognac, pineau des Charentes et vin de pays).
Commerces et artisans
modifierLa commune compte aussi, en 2011, une société d'équipement agricole qui emploie 15 personnes, un ferronnier, un boucher-charcutier-traiteur, une entreprise de destruction des nuisibles, une boutique de produits de luxe-galerie d'art et un spécialiste de la photo aérienne[38].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierL'église paroissiale Saint-Christophe est romane et date du début du XIIe siècle. Elle a été remaniée au XVe siècle puis à la fin du XIXe siècle. Elle est classée monument historique depuis 1990. La cloche a été donnée en 1850 par Alfred de Vigny qui en est le parrain. Elle s'est fendue en 1935 et a été refondue par les établissements Bolée à Orléans[39].
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La façade.
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Le chevet et le clocher.
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Détails du chevet.
Le logis du Maine-Giraud date du XVIe siècle. Il a été le domaine d'Alfred de Vigny de 1827 à 1863, après avoir appartenu au poète Jean-Baptiste Vivien de Châteaubrun. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 1967[40]. Il abrite le musée Alfred-de-Vigny[41].
À classer également dans le patrimoine communal, un carnet ayant appartenu à Alfred de Vigny et sept lettres de sa main. L'ensemble de ces documents est conservé dans les archives de la mairie. Le carnet a été analysé par un article de Jacques André Catala et René Pomeau en 1964[42], les lettres ont fait l'objet d'une communication de J. A. Catala en 1963[43].
Le logis de Lussaud date des XVIIe et XVIIIe siècles[44]. Ce fief dépendait de la baronnie de Blanzac, et a appartenu en 1748 à M. de Gervais, lieutenant criminel. Il est flanqué de deux grosses tours rondes, dont l'une plus ancienne à l'angle gauche[45]. Il a été renové entre 2020 et 2024 par son actuel propriétaire[46].
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Le Maine-Giraud.
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Carnet et lettres de Vigny.
Personnalités liées à la commune
modifier- Alfred de Vigny (1797-1863), écrivain, romancier, dramaturge et poète français, résidé dans la commune, qui lui prendra son nom en 1983.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Bien qu'il n'y avait pas d'homonymie avec l'autre commune Champagne du même département, nommée Champagne-Mouton, mais parfois nommée aussi Champagne localement et dans son ancienne province du Poitou.
- Ce nom en -y fait exception dans cette partie méridionale du département où les noms se terminent par -ac.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Champagne-Vigny » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Champagne-Vigny » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Champagne-Vigny - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Champagne-Vigny - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Charente » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Michel Vigneaux, Aquitaine occidentale, Paris, Masson, , 223 p. (ISBN 2-225-41118-2, lire en ligne), p. 48, 79
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Champagne-Vigny », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angoulême », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Champagne-Vigny », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Champagne-Vigny », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 58,59
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 137.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 109-110
- « Champagne-Vigny : le maire, Gérard Saumon, s’en est allé : Malade, Gérard Saumon s’est éteint à l’âge de 75 ans. Instituteur du village durant 35 ans et maire depuis 1995, c’est une figure locale qui disparaît », Sud Ouest, 9/7/2023 mis à jour le 10/7/2023 (lire en ligne , consulté le ).
- Delphine Lamy, « Sud Charente : Patrice Chappa, élu maire de Champagne-Vigny : Le Conseil municipal s’est réuni mercredi 4 octobre, en séance extraordinaire, pour élire le successeur de l’ancien maire, Gérard Saumon, décédé », Sud Ouest, (lire en ligne , consulté le ).
- « Champagne-Vigny : Première cérémonie des vœux pour le nouveau maire », Charente libre, (lire en ligne , consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente
- Site du RPI Bécheresse-Champagne
- APMAC, « Fiche technique du Centre national Alfred-de-Vigny », (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Champagne-Vigny (16075) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
- Statistiques de ce paragraphe obtenues en mairie, décembre 2011.
- La Gazette de Champagne-Vigny, publication municipale, août 2011, mise à jour de la liste en mairie, décembre 2011.
- « Église Saint-Christophe », notice no PA00104276, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Logis du Maine-Giraud », notice no PA00104277, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- du logis du Maire-Giraud.
- Vigny au Maine-Giraud en 1827 d'après un carnet inédit dans la Revue d'histoire littéraire de la France en 1964, no 2, 64e année), Jacques André Catala et René Pomeau.
- Mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, année 1963, 13 juin.
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 199
- Pierre Dubourg-Noves in Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 386
- Julien Bergognat, « Le château de Lussaud retrouve une seconde jeunesse », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes de la Charente
- Communauté de communes des 4B Sud-Charente
- Liste de communes de France dont le nom commémore une personnalité
Liens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Catillus Carol, « Champagne-Vigny », (consulté le )
- « Dossier complet : Commune de Champagne-Vigny (16075) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 14/11//2023 (consulté le ).
- Résumé statistique de Champagne-Vigny sur le site de l'Insee
- « Champagne-Vigny » sur Géoportail.