Castor dans la culture
Le Castor dans la culture est présent par l'utilisation de parties de son corps (viande, castoréum, fourrure) et son comportement caractéristique, réputé travailleur.
Utilisation
modifierConsommation
modifierCastoréum
modifierFourrure
modifierCélébration
modifier- Journée internationale du castor, célébrée le 7 avril.
Symbole
modifierLe castor est le symbole national du Canada depuis le . Lors des jeux olympiques d'été de 1976 à Montréal, « Amik » (signifiant « castor » en langue algonquine) est la mascotte olympique[1].
Dans la culture populaire
modifierEn 1931, l'éditeur Paul Faucher crée le personnage du père Castor et sa collection d'ouvrages pour les enfants. L'image du castor est choisie car c'est « un animal voué d’instinct à la construction »[2],[3]. La collection sera adaptée en série télévisée d'animation franco-canadienne dans les années 1990 : Les Histoires du père Castor.
En 1953 sort la première édition française du livre pour enfants Le Castor Grogh et sa tribu (Grogh. Storia di un castoro, 1951) d'Alberto Manzi. Dans ce récit, Grogh, un castor, fait tout pour protéger les siens des prédateurs et surtout des chasseurs avec leurs pièges et leurs fusils[4]. L'histoire est régulièrement rééditée.
Notes et références
modifier- Bruce Peel, « Emblèmes du Canada » , sur thecanadianencyclopedia.ca, (consulté le )
- Derwell Queffelec, « À l’origine du Père Castor » , sur franceculture.fr, (consulté le )
- « Livre : Père Castor, héros de la littérature jeunesse depuis 90 ans » , sur francetvinfo.fr, (consulté le )
- Alberto Manzi (trad. de l'italien par Ch. Vildrac et S. Rochat), Le Castor Grogh et sa tribu [« Grogh. Storia di un castoro »], Bourrelier, , 160 p. (BNF 31578988)