Bourg-Argental
Bourg-Argental [buʁk‿aʁʒɑ̃tal] Écouter est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Bourg-Argental | |||||
Vue panoramique de Bourg-Argental. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Loire | ||||
Arrondissement | Saint-Étienne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Monts du Pilat (siège) |
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Maire Mandat |
Stéphane Heyraud 2020-2026 |
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Code postal | 42220 | ||||
Code commune | 42023 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bourguisans[1] | ||||
Population municipale |
2 949 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 146 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 17′ 50″ nord, 4° 33′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 450 m Max. 1 003 m |
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Superficie | 20,15 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Bourg-Argental (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Annonay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pilat | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | bourgargental.fr | ||||
modifier |
C'est une commune rurale, classée très peu dense par l'INSEE. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Annonay, en Ardèche.
Géographie
modifierLocalisation
modifierBourg-Argental se trouve à 28 km de Saint-Étienne et à 15 km d'Annonay (Ardèche).
Voies de communication et transports
modifierDesserte routière
modifierLa commune est traversée par l'ancienne route nationale 82 déclassée en route départementale 1082. Elle est également traversée par les routes D2 et D503.
Transports en commun
modifierLa commune est desservie par 3 lignes du réseau Cars Région Loire : la ligne L12 qui la relie à Saint-Étienne via Le Bessat, la ligne L17 qui relie Annonay à Saint-Étienne via le col de la République et la ligne L41 qui relie Annonay à Pélussin.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 9 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Marcel Annonay », sur la commune de Saint-Marcel-lès-Annonay à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bourg-Argental est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourg-Argental[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annonay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (52 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,8 %), forêts (42,7 %), zones urbanisées (7,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe village tire son nom de l'Argental, ruisseau de rive gauche de la Déôme qui conflue tout près du bourg. Le ruisseau lui-même tient son nom du hameau d'Argental, siège d'une ancienne seigneurie, qu'il arrose sur son parcours.
Histoire
modifierLa seigneurie d'Argental[pas clair] est créée en 844 lorsque Archimbault, comte de Vienne, offre à l'un de ses vassaux les terres d'Argental. Un château fort sera construit à Argental tandis qu'à trois kilomètres de là se formait le bourg d'Argental, l'actuelle ville.
Au XVe siècle, Marguerite de Montchenu vend ses terres à Jean II de Bourbon, comte de Forez. Celui-ci décide alors d'élever Bourg-Argental au rang de bailli[14].
Son église est inhabituelle, car le cardinal Donnet l'a fait orienter à l'opposé de l'usage qui veut que le porche soit à l'ouest[pas clair], pour avoir une grande place devant l'entrée.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierAdministration municipale
modifierLe nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23.
À la suite de l'élection municipale de 2014, le conseil municipal est composé de 6 adjoints et de 16 conseillers municipaux[15].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].
En 2021, la commune comptait 2 949 habitants[Note 3], en évolution de +1,62 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierBourg-Argental dispose de deux ensembles scolaires dont deux écoles et deux collèges :
- ensemble scolaire privé Sainte-Anne-Saint-Joseph :
- école maternelle et élémentaire privée Sainte-Anne,
- collège privé Saint-Joseph ;
- école maternelle et élémentaire publique de Bourg-Argental ;
- collège public du Pilat.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et Monuments
modifierLes pépinières et roseraies Paul Croix ont obtenu le label Jardin remarquable sur le site d'une des plus anciennes pépinières de France.
Espaces verts et fleurissement
modifierEn 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[22].
Édifices et sites
modifier- Église Saint-André et son portail roman classé du XIIe siècle.
- Château en ruine à Argental.
- La maison du châtelet : construit sur la base des anciennes fortifications de Bourg-Argental et notamment sur une ancienne tour de garde carrée, le bâtiment est modifié en habitation à deux reprises au cours des siècles. Au XVIe siècle tout d'abord avec l'ajout de plafond en fougère[23], puis au XVIIe siècle avec l'ajout d'une aile supplémentaire. Baptisé Maison du châtelet, l'ensemble abrite aujourd'hui l'Office de tourisme et des salles d'exposition[24].
- Vestiges importants de la ligne de chemin de fer entre Firminy, Annonay et Saint-Rambert-d'Albon.
- Dans le square Louis-Jarrosson, une croix de mission, érigée en 1845, et une statue de Jeanne d'Arc. Cette statue est liée à l'invasion de juin 1940, lorsque le maire et la municipalité décident le 18 juin de placer la localité sous la protection de la sainte, et promettent l’édification d’une statue à son effigie si la ville est épargnée[25]. Aujourd'hui, chaque année, la commune a coutume de commémorer le 8 mai 1945 en déposant une gerbe au pied de cette stèle[26],[27]. La statue et la croix doivent être déplacées en 2023 dans le jardin de la Cure[28].
Personnalités liées à la commune
modifier- Paul Croix (1924-1999), pépiniériste et rosiériste à Bourg-Argental, obtenteur de plus de 200 roses, dont de nombreuses ont été distinguées dans les concours internationaux.
- Ferdinand-François-Auguste Donnet (1795-1882), archevêque et cardinal, sénateur au second Empire, est connu pour sa résistance face à l'Empereur. Né à Bourg-Argental.
- Jacques Esterel (1917-1974), couturier. Il réalisa la robe de mariée de Brigitte Bardot. Un complexe de salle de théâtre et de cinema (unique salle du village) associatif porte son nom dans cette commune.
- Émile Girodet (1849-1898), maire de Bourg-Argental puis de Saint-Étienne, député de la Loire.
- Pierre Guyotat (1940-2020), écrivain. Dans son livre Formation (Gallimard, 2007), Pierre Guyotat raconte les premières années de sa vie à Bourg-Argental. Il y évoque entre autres choses les nombreux appels téléphoniques reçus par son père, médecin de campagne (une place de Bourg-Argental porte son nom et une rue le nom de son grand-père).
- Lova Moor (1946- ), meneuse de revue, animatrice de télévision et chanteuse y habite, depuis les années 1990.
- Henri Mathon de Fogères (1806-1864), homme politique et avocat, né à Bourg-Argental.
- Henri Ménabréa (1882-1968), écrivain et historien de la Savoie, né à Bourg-Argental.
- Fleuri Zacharie Simon Palerne de Savy (1733-1835), avocat, premier maire de Lyon en 1790, mort à Bourg-Argental.
- Charles-François Richard (1772-1851), fils de Jean-Louis Richard, à l'origine de la fabrication industrielle des lacets, nait à Bourg-Argental.
- Jean-Louis Richard (1743-1812) député du Forez au Tiers état nait et décède à Bourg-Argental[Note 4]
- Adrien Sénéclauze (1802-1871), horticulteur et botaniste français, fondateur de l’Établissement horticole Adrien Sénéclauze, aujourd'hui appelé pépinières et roseraies Paul Croix, né et mort dans la commune.
- Louis Vidon (1856-1925), conseiller général et député de la Loire, industriel et fabricant de soieries, maire de Bourg-Argental où il est né.
Bourg-Argental dans la littérature
modifierSelon l’essayiste Jacques Petit, l’aspect de « la petite bourgade du Forez, au pied des Cévennes », où se déroule l’action du court roman Une histoire sans nom de Barbey d’Aurevilly, aurait été inspiré à l’écrivain par le séjour qu’il avait fait à Bourg-Argental en 1846[30],[Note 5].
Héraldique
modifierBlason | D'or au lion contourné d'azur, couronné d'or, lampassé de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Son neveu, Jacques-Barthélémy Richard aussi dit « Richard neveu », procureur du bailliage, est le premier maire élu de Bourg-Argental le [29].
- La « petite bourgade du Forez, au pied des Cévennes » est décrite par l’auteur ainsi que suit :
- « Le jour s’en venait bas dans l’église, assombrie encore par l’ombre des montagnes qui entourent et même étreignent cette singulière bourgade, et qui, en s’élevant brusquement du pied de ses dernières maisons, semblent les parois d’un calice au fond duquel elle aurait été déposée. […] Ces montagnes dessinaient un cône renversé. […] Ceux qui vivaient dans cet abîme devaient certainement éprouver quelque chose de la sensation angoissée d’une pauvre mouche tombée dans la profondeur […] d’un verre vide [...]. Rien de plus triste que cette bourgade, malgré le vert émeraude de sa ceinture de montagnes boisées et les eaux courantes qui en ruissellent de toutes parts, charriant des masses de truites dans leurs bouillons d’argent. [Ses habitants restent] claquemurés dans cet étroit ovale de montagnes, qui semblent se marcher sur les pieds tant elles sont pressées les unes contre les autres ! […] Et l’on pense involontairement aux mineurs qui vivent sous la terre, ou à ces anciens captifs des cloîtres qui priaient pendant des années, engloutis dans de ténébreuses oubliettes ».
- Cf. J. Barbey d'Aurevilly, Une histoire sans nom, éd. Folio 1972, p. 29-30. Voir aussi sur le site Gallica.
- « Le jour s’en venait bas dans l’église, assombrie encore par l’ombre des montagnes qui entourent et même étreignent cette singulière bourgade, et qui, en s’élevant brusquement du pied de ses dernières maisons, semblent les parois d’un calice au fond duquel elle aurait été déposée. […] Ces montagnes dessinaient un cône renversé. […] Ceux qui vivaient dans cet abîme devaient certainement éprouver quelque chose de la sensation angoissée d’une pauvre mouche tombée dans la profondeur […] d’un verre vide [...]. Rien de plus triste que cette bourgade, malgré le vert émeraude de sa ceinture de montagnes boisées et les eaux courantes qui en ruissellent de toutes parts, charriant des masses de truites dans leurs bouillons d’argent. [Ses habitants restent] claquemurés dans cet étroit ovale de montagnes, qui semblent se marcher sur les pieds tant elles sont pressées les unes contre les autres ! […] Et l’on pense involontairement aux mineurs qui vivent sous la terre, ou à ces anciens captifs des cloîtres qui priaient pendant des années, engloutis dans de ténébreuses oubliettes ».
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Loire », sur habitants.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bourg-Argental et Saint-Marcel-lès-Annonay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Marcel Annonay », sur la commune de Saint-Marcel-lès-Annonay - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Marcel Annonay », sur la commune de Saint-Marcel-lès-Annonay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bourg-Argental », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bourg-Argental ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Annonay », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- La seigneurie d'Argental au départ de l'Histoire ; La Tribune, le Progrès, édition du 26 juillet[réf. incomplète].
- « Le Conseil Municipal », sur le site de la mairie (consulté le ).
- « Bourg-Argental »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de l'association des maires de France (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- AstroResearch, « Salpetre - nitre », sur sfr.fr via Wikiwix (consulté le ).
- « parc-naturel-pilat.fr/fr/un-pa… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Les Bourguisans face à l'Histoire : 1940 - L'invasion, Association des Amis de Bourg-Argental, Michel Granjon
- (en) « Mag'Bourguisan N°13 », sur calameo.com (consulté le ).
- « En images. Les commémorations du 8-Mai-1945 dans le Sud de la Loire », sur leprogres.fr (consulté le ).
- « Bourg-Argental - Le conseil municipal dévoile ses projets pour 2023 », (consulté le ).
- Étienne Brossard, Histoire du département de la Loire pendant la Révolution française (1789-1799) : Notices rédigées par É. Brossard […], publiées par Joseph de Fréminville […], à l'initiative et sous les auspices du Conseil général, vol. I : Les États généraux. L’assemblée constituante. L’assemblée législative, Saint-Étienne, Chevalier, , 523 p., 2 vol. in-8° (BNF 34106541, lire en ligne), chap. III (« Élections municipales de 1790 »), p. 243 (vue 247/529).
- Jules Barbey d'Aurevilly, Une histoire sans nom, Paris, Gallimard, coll. « Folio », , p. 261 (préface et annotations de jacques Petit).