Bonsecours (Seine-Maritime)

commune française du département de la Seine-Maritime

Bonsecours est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Bonsecours
Bonsecours (Seine-Maritime)
La basilique Notre-Dame de Bonsecours.
Blason de Bonsecours
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Laurent Grelaud
2020-2026
Code postal 76240
Code commune 76103
Démographie
Gentilé Bonauxiliens
Population
municipale
6 455 hab. (2021 en évolution de −0,29 % par rapport à 2015)
Densité 1 717 hab./km2
Population
agglomération
532 559 hab.
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 43″ nord, 1° 07′ 43″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 157 m
Superficie 3,76 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Darnétal
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bonsecours
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Bonsecours
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Bonsecours
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Bonsecours
Liens
Site web mairie-bonsecours.fr

Elle est connue dans l'agglomération rouennaise pour son panorama qu'elle offre sur la « ville aux cent clochers ».

Géographie

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Localisation

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Bonsecours fait partie de l'agglomération de Rouen qui compte 45 communes et 405 392 habitants. Bonsecours est située entre Rouen et Le Mesnil-Esnard.

Le territoire de la commune va des bords de la Seine jusqu'au plateau, ce qui ne lui donne pas de cohérence topographique ; il en résulte des quartiers dont l'aménagement est difficile à organiser.

 
Carte de la commune.
 
Légende.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 899 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Bonsecours est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (55,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (48,7 %), forêts (28,5 %), prairies (10,3 %), terres arables (3,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), eaux continentales[Note 4] (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Les lignes de bus F5 et 13 desservent Bonsecours.

Ces lignes permettent de rejoindre le centre-ville de Rouen ainsi que les communes voisines (Boos, Le Mesnil-Esnard, Franqueville-Saint-Pierre…).

Toponymie

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Le site est attesté sous les formes Blovilla au XIe siècle ; Notre-Dame de Bloville en 1390 et 1393 (Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen reg. 5 f. 281 v.) ; Notre-Dame de Bloville les Rouen en 1472 (Archives Seine-Maritime, Tab. Rouen reg. 14 f. 64) ; Ecc. Beate Marie de Blovilla en 1502 et 1503 (Arch. S.-M., G 9493) ; Notre Dame de Blosville en 1544 ; Nostre Domine de Bonsecours en 1571 (Arch. S.-M., 32 H.) ; Notre Dame de Blosville dit Bonsecours en 1609 (Arch. S.-M., G Officialité) ; Notre Dame de Blosville dit Bonsecours en 1618 (Arch. S.-M., tab. Rouen m.) ; Blosseville des Bonsecours en 1793, Blosseville dit Bonsecours en 1801[14]. La commune s'est appelée Blosseville-Bonsecours jusqu'en 1958[15].

Le nom de Bloville s'explique probablement comme Blosville (Manche, Blovilla 1157 - 1169). Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé vraisemblablement d'un nom de personne dont l'identification n'est pas assurée.

La plupart des auteurs ont proposé de reconnaître dans ce Blo- (devant -ville) une forme évoluée de l'anthroponyme francique ou plus généralement germanique Bladulfus en se fondant, pour plusieurs d'entre-eux du moins, sur Bloville, nom d'une ferme sur la commune de Boisjean dans le Pas-de-Calais. Ses premières formes sont en effet Bladulfivilla en 853, puis Blovilla en 1165[16],[17],[18]. En réalité, ce nom, possible sous la forme *Bladulf < *Bladwulf, n'est pas attesté[18].

La graphie alternative Blosville note l'allongement et la fermeture du [o], mais elle a été lue de manière erronée « Blosseville » à l'époque moderne[19].

Le qualificatif Bonsecours qui apparait au XVIe siècle, est lié au célèbre pèlerinage de Notre-Dame de Bonsecours, dont le sanctuaire est mentionné comme église parrochiale de Bloville dit Bonsecours[19]. Notre-Dame du Bon Secours est l'un des titres donnés à la Vierge Marie dans l'Église catholique depuis le XIVe siècle. Cette dévotion qui s'est répandue dans le monde entier a donné son nom à de multiples églises, chapelles et autres bâtiments religieux et à certaines localités.

Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée Blosseville-Bonsecours, porta provisoirement le nom de Blosseville-la-Montagne[14]. En 1958, le nom de la commune est raccourci en Bonsecours[17]. Déjà Dom Duplessis[20] constatait au XVIIIe siècle que seul Bonsecours était utilisé par la population[19].

Histoire

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La commune de Bonsecours est construite sur le site de l'ancien monastère Sainte-Catherine qui fut un lieu de séjour des rois notamment pendant les guerres qui opposèrent le roi de France à son vassal, le duc de Normandie.

Le camp de Sainte-Catherine, en fait le château de Thuringe[21], fut occupé en 1592 par Henri IV. Le pèlerinage à Notre-Dame de Bonsecours, attesté dès le XIVe siècle, se serait surtout développé après la disparition en 1597 de l'abbaye de Sainte-Catherine.

Hugues de Blosville (fl.  au XVe siècle) qui fut l'un des auteurs préférés de Charles d'Orléans était en fait Hugues de Saint-Maard, vicomte de Blosville[22].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Tamelier    
1827 1828 Lemarié    
1849 1892 Lebourgeois    
1896 1900 Sinoquet   Cafetier
1900 1902 Jules Lebourgeois    
1902 1919 Édouard Larcher    
1919 1923 Gaston Mignot    
1923 6 février 1939 Georges Loquet    
7 avril 1939 juin 1943 Emmanuel Bleuzet    
juillet 1943 1944 Jacques Morin   Avocat
1944 1945 Charles Saint-Aubin   Médecin
1945 octobre 1947 Georges Ledru DVD Militaire
Conseiller général du canton de Boos (1945 → 1951)
octobre 1947 mai 1953 Numa Servin    
mai 1953 mars 1959 Raymond Jullien    
mars 1959 mars 1971 Lucien Aubert   Comptable
mars 1971 mars 1989 Guy Eliot   Médecin
mars 1989 mars 2008 Max Martinez app. UDF Suppléant du député Pierre Albertini
mars 2008 En cours Laurent Grelaud PS puis DVG
puis Horizons
Administrateur au ministère des finances
Vice-président Métropole Rouen Normandie (2015 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25]
Conseiller départemental depuis 2021

Équipements et services publics

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Eau et déchets

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Espaces publics

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Enseignement

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La commune dépend de l'Académie de Normandie.

Postes et télécommunications

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Justice, sécurité, secours et défense

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 6 455 habitants[Note 5], en évolution de −0,29 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7556477521 0711 0441 1061 3161 2231 231
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3071 4111 4061 5121 4971 5491 5511 7241 715
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7721 8721 9572 3792 3652 5622 9522 6853 098
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 6863 8065 4356 1086 8986 8536 8676 4696 473
2021 - - - - - - - -
6 455--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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Terrains de tennis, terrains de foot, gymnase, terrain de basketball, tir à l'arc, organisation de la cyclo Robic Bonsecours.

Vie associative

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Médias

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Économie

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Revenus de la population et fiscalité

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Entreprises et commerces

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La basilique Notre-Dame de Bonsecours.

La basilique Notre-Dame a été reconstruite au XIXe siècle (architecte : Jacques-Eugène Barthélémy) sur un très ancien site de pèlerinage. Elle a été inscrite en 1977 sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. José-Maria de Heredia est enterré dans le cimetière qui la jouxte. L'ancienne église, quant à elle, aurait été détruite en 1473.

 
Monument à Jeanne d'Arc.

Situé en face de la basilique, on trouve le monument dédié à Jeanne d'Arc avec, à son sommet, l'archange saint Michel. Ce monument a été inauguré en 1892.

 
Portail de l'ancienne église de Bonsecours.

Le casino fut bâti en 1893 par les concessionnaires du funiculaire de Bonsecours qui reliait alors le quartier d'Eauplet à la basilique par la colline. Il était alors à la fois restaurant, dancing et salle de jeux. En 1905, il fut racheté par un restaurateur rouennais, Dieudonné, qui le spécialisa dans les noces, les banquets. En 1942, il fut cédé à une organisation charitable qui en fit un lieu de vacances pour les enfants de Rouen. Le 17 novembre 1964, la commune de Bonsecours devient propriétaire du casino. En 1970, le casino est restauré, son aspect d'origine lui est restitué. Il était alors utilisé pour les noces mais aussi pour des expositions et de nombreuses manifestations culturelles. Le 3 janvier 2006 à 2 h 30, un incendie le réduisit en cendres.

Un nouveau casino a été reconstruit pour remplacer l'ancien.

Le cimetière particulièrement monumental est aussi un centre d'intérêt à ne pas négliger. Sa situation particulièrement escarpée offre un magnifique panorama à toutes ses sépultures dont certaines sont très anciennes. La tombe de José-Maria de Heredia et de sa famille y est conservée. Un carré est consacré à des sépultures de prêtres du diocèse de Rouen, dont celui du père Jacques Hamel, prêtre assassiné dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray le 26 juillet 2016. Non loin du carré des prêtres se trouve la tombe commune de sœurs dominicaines et de Jean Amoudru, « curé de Leningrad », qui subit la persécution en URSS du temps de Staline. Monument à Albert Ier, œuvre du sculpteur Fivet[29].

La proximité du monumental hommage à Jeanne d'Arc en relève encore la grandeur.

La côte Sainte-Catherine offre un panorama sur Rouen et les communes voisines, ainsi qu'un espace naturel abritant des espèces rares à l'échelle de la région : Dactylorhiza praetermissa, Sorbus latifolia, Mantis religiosa[30].

Patrimoine naturel

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Site classé
  • Fragment du chemin de grande communication dit la Vieille-Côte   Site classé (1928).

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune de Bonsecours se blasonnent ainsi :

D'or à trois croisettes de sable enfermées dans un orle de gueules.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Bonsecours et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bonsecours ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150, lire en ligne), p. 47-48.
  16. Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, « Les noms de communes de Normandie », in Annales de Normandie XIII (juin 1963), p. 345.
  17. a et b François de Beaurepaire, op. cit., p. 47.
  18. a et b Dominique Fournier, « Bloville#Toponymie » in Wikimanche (lire en ligne) [1]
  19. a b et c François de Beaurepaire, op. cit., p. 48.
  20. Description géographique et historique de la Haute-Normandie, Paris, 1740.
  21. « Oppidum dit château de Thuringe », notice no IA00021180, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 123.
  23. Les maires de Bonsecours de 1790 à aujourd'hui, sur mairie-bonsecours.fr (consulté le 13 octobre 2018).
  24. Isabelle Villy, « Municipales. Le « contrat » municipal de Laurent Grelaud pour Bonsecours, près de Rouen : Laurent Grelaud, maire sortant de Bonsecours (Seine-Maritime), est candidat aux élections municipales pour un 3e mandat, à la tête d’une liste renouvelée de moitié », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Municipales 2020. À Bonsecours, Laurent Grelaud retrouve son fauteuil de maire : Laurent Grelaud a été réélu maire de Bonsecours près de Rouen. Le 15 mars 2020, il l’avait emporté avec 54,65 % des suffrages loin devant Gwénaël Labarre et Marylène Follet », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une distribution issue du premier tour des élections municipales qui a vu Laurent Grelaud l’emporter avec 54,65 % devant Gwénaël Labarre (26,87 %) et Marylène Follet (18,67 %). (...) C’est Laurent Grelaud qui a emporté les suffrages avec 23 voix, contre quatre pour son challenger et deux pour son ancienne adjointe ».
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « À Bonsecours. Le monument au roi Albert a été inauguré hier par le comte de Kerchove de Denterghem », Journal de Rouen,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. ZNIEFF 230000316 - Côte Sainte-Catherine sur le site de l’INPN..