Bernard Werber

écrivain français
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Bernard Werber (/bɛʁ.naʁ vɛʁ.bɛʁ/), né le à Toulouse, est un écrivain français. Il est principalement connu pour sa trilogie des Fourmis.

Bernard Werber
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Bernard Werber en 2013
Naissance (63 ans)
Toulouse, France
Activité principale
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres

Œuvres principales

Son œuvre, traduite dans une trentaine de langues, fait se rencontrer spiritualité, science-fiction, polar, biologie, mythologie, etc. L'auteur qualifie parfois son style de « philosophie-fiction »[1].

Biographie

Né à Toulouse le [2] de parents juifs ashkénazes, François et Céline Werber, il a une sœur, Muriel. Il fut tout d’abord un enfant inspiré par le dessin : à 5 ans, il veut devenir dessinateur professionnel, et encouragé par son professeur, il a le droit de rester à part des autres élèves pour dessiner de grandes aquarelles. Dans la vie il rencontre des difficultés, notamment des problème de piano :

« J’ai commencé par apprendre le piano vers l’âge de douze ans. C’était pour moi un véritable enfer, car j’avais un professeur qui me tapait sur les doigts avec une règle lorsque je faisais des fausses notes. J’ai donc mis très vite un terme à tout cela. Beaucoup plus tard, je suis revenu à la guitare en autodidacte et j’ai appris quelques bases. C’est plus convivial. Je joue avec des amis et s’il y a des couacs, ils s’intègrent sans problème dans le contexte[3]. »

Mais aussi des problèmes en sport[4].

Toutefois, à 7 ans, Bernard Werber s’intéresse aux mathématiques.

À 8 ans, il écrit, dans le cadre d'un travail scolaire, l'histoire d'une puce se promenant sur un corps humain, Souvenir d’une puce, ce qui le fait dévier de son rêve original. Il en écrira d'autres : Les souvenirs d’un safari vu par un lion, Le château magique ainsi que des Enquêtes de Menard et Tarpin sous l'influence d’Edgar Allan Poe et de ses nouvelles, notamment Le double crime de la rue Morgue. Il découvre aussi Jules Verne notamment L'Île mystérieuse, ainsi que Pif Gadget. Bernard Werber finit par souffrir de polyarthrite ankylosante, alors mal connue et sans remède existant. Plus tard Bernard Werber déclarera avoir guéri grâce à l'écriture[5].

À 13 ans, Bernard Werber s’intéresse à Freud. Il découvre l’acharnement thérapeutique qui a lieu sur son grand-père Isidore que l’on empêche de mourir. Il en fera le personnage d’Edmond Wells. En 1974, Bernard Werber part pour la colonie d’Hyères pour ses grandes vacances où il fait l'apprentissage de la guitare et fait la découverte de la méditation avec Jacques Padovani[6]. À la suite de cette expérience, il fait la découverte d’auteurs tels que Lobsang Rampa et Carlos Castaneda. En 1975, Bernard Werber découvre le magazine Métal hurlant ainsi que le dessinateur Moebius.

En mai 1975[7], Bernard Werber part une nouvelle fois en colonie en Corse à Solenzara, où il manque d'être tué à la suite d'un simple quiproquo dont il sort de justesse. Fin de scolarité, Bernard est considéré comme non-apte à passer en section scientifique, ce qui sera pour lui une grande déception[8], il quitte alors le Lycée Fermat pour le lycée Ozenne. Il organise un groupe de rock – les Fourmis bleues. Au lycée, il apprend la dactylographie[9]. Au lycée un professeur de français, madame Pubcou[10], encourage Bernard Werber à écrire et il décide en 1977 de créer un journal. Le magazine se nomme la soupe à l’Ozenne. Il fait la connaissance du dessinateur Fabrice Coget, qui lui fait découvrir Fondation d’Isaac Asimov. En sport Bernard trouve sa voie, la canne de combat, un art martial français. Peu après une exposition de bandes dessinées, il propose à Fabrice un scénario sur les fourmis : L’empire des fourmis. En 1978, Paris Match publie une interview de Frédéric Dard que révèle que « pour écrire un livre, il écrit de 8 h 00 à 12 h 00 ». Bernard Werber décide d’adopter cette règle. Cependant Les fourmis ne plait pas aux lecteurs. C'est en 1979 que Bernard Werber découvre le secret de l’intrigue au cours d'une randonnée à Saint-Gaudens. La fameuse histoire de la balle jaune[11]. Il faut créer une frustration chez le lecteur et le satisfaire à petites doses (mise en place d’un teasing au travers de l’histoire de La cave).

De ces années lui vient son goût pour la science, qu’il mêle avec ses thèmes favoris, tels que les fourmis, la mort, ou les origines de l’humanité. Sélectionné en 1990 en finale du prix Mumm du meilleur article de l'année pour un reportage sur Singapour, la ville ordinateur, il est licencié par ses supérieurs, selon lui, jaloux de son succès[12]. S'ensuit une période de chômage, qu'il met à profit pour apprendre le métier de scénariste de cinéma à l'Institut national de l'audiovisuel.

Les Fourmis est édité en mars 1991.

En 1993, le Jour des fourmis obtient le prix des lectrices du magazine Elle[13]. Durant l’année 1993, Bernard Werber est attiré par le jeu vidéo Civilization[14], qui influencera le Cycle des dieux plus tard. Il publie l’encyclopédie du savoir Absolu/ Le secret des fourmis. Bernard Werber souhaite approfondir le thème de la vie après la mort, en rédigeant Les thanatonautes (inspiré du Livre des morts tibétains et du livre des morts égyptien). Son livre sort en février 1994, son livre ne trouvant pas le succès, il part au pilon. C'est en 1994 que Bernard Werber fit traduire Les fourmis en japonais, mais malheureusement, il fut saboté par Tokata[15]

En octobre 1994 sort La Révolution des fourmis.

Aux États-Unis Dreamworks et Pixar sortent une série animée sur les fourmis, Bernard Werber renonce à les attaquer en justice[16].Bernard Werber rédige le Livre du voyage, pour surmonter le divorce qui vient de vivre.

1997 : Microid commence à travailler sur Les fourmis en jeu vidéo. 1998, Bernard Werber travaille sur son nouveau roman : Le père de nos pères. Septembre 1998, Bernard Werber va pratiquer une séance d’hypnose régressive- il devient alors atlante de 821 ans (cf Souvenir d'un monde merveilleux). Il pratiquera de nombreuses fois, cette technique. Octobre 1998 – sorti de son roman Le Père de nos pères. Il vend 150 000 exemplaires grand format. 1998: sorti du jeu vidéo sur les fourmis. Sorti de la BD EXIT, qui est teinté d’un demi-échec, en effet autre chose retient l’attention de Bernard Werber, La Reine de nacre réalisé par Bernard Werber et Sebastien Drouin par Canal+.Le tournage a lieu en septembre 1999 et s’étale sur 9 jours. Après deux ans d’écriture, Bernard Werber rédige l’empire des anges qui est la suite logique des thanatonautes. L'Empire des anges se classe no 1 des ventes des avril 2000[17].

2001 est consacré à la rédaction de l’Ultime secret. En Corée, l’arbre des possibles devient sa plus grande vente, dépassant celle des fourmis. À la suite du livre L'Arbre des possibles, il a lancé le site Web du même nom, un « projet pour rechercher ou imaginer les futurs possibles de l’humanité[18] ».

Octobre 2003 : sorti de la pièce de théâtre Nos amis les humains. Bernard Werber écrit un nouveau roman : Nous les Dieux inspiré du jeu Civilization[19]. Le livre sort en octobre 2004. Nos amis les humains est joué à la comédie Bastille.

En septembre 2009, on découvre un bouchon d’athérome dans sa coronaire. À partir de ce jour, Bernard Werber fait tous les jours une heure d’exercice de cardio-training[20]. Il suit alors de nombreuses séries télévisées. En héritage, Bernard Werber décide de rédiger son testament en forme de roman, ce sera la saga de Troisième Humanité.

2010 – sorti du roman, Le rire du cyclope. Il entend déployer sa Troisième Humanité sur 7 romans à l’origine. Il déploie le 7e point de vue concernant les Micro-Humains dans son deuxième roman. Cependant ses romans ne plaisent pas au grand public. Il en sortira un troisième La Voix de la Terre avant de passer à autre chose. Entre temps Bernard Werber rédige une autre pièce de théâtre : Bienvenue au Paradis. Quelque années plus tôt, l’auteur s’est mis en couple avec l’une de ses lectrices, lui donnant un deuxième enfant, avant de le quitter en 2013[21].

Ses œuvres ont été traduites en trente-cinq langues. Avec 30 millions d’exemplaires vendus dans le monde[22],, Bernard Werber est, avec Marc Levy, l'un des auteurs français contemporains les plus lus au monde. Il est même considéré comme une star en Corée du Sud[23], pays où il vend davantage qu'en France, et a reçu un accueil très enthousiaste en Russie[24].

Il défend son œuvre grâce à son public qui joue du bouche à oreille, et des médias qu'il a développés afin de rester en contact avec son public (internet notamment), il voyage autour de la France et à l'étranger (au Québec, en Corée, en Chine, au Japon, en Russie) et cherche à varier les thèmes dans ses romans. Il ne croit pas en l'auteur qui vit dans sa tour d'ivoire[25].

Il a récemment (en septembre 2016) mis en place un one-man-show[26]. Il est, depuis janvier 2019, sociétaire de l’émission radiophonique Les Grosses Têtes, sur la radio RTL.


Écriture

 
Bernard Werber, à « La Comédie du livre » de Montpellier,

Son style d’écriture mêle différents genres, notamment la saga d’aventure, la science-fiction, de l’entre-deux-guerres et le conte philosophique.

Dans la plupart de ses romans, Bernard Werber utilise la même forme de construction, alternant des articles informatifs d’encyclopédie et deux ou trois fils narratifs. Les articles précisent ou élargissent les intrigues, ces deux dernières se recoupant épisodiquement.

De plus, toutes ses productions, par exemple ses romans et ses nouvelles, s’entrecroisent. On retrouve ainsi des personnages comme Edmond Wells à la fois dans la trilogie des Fourmis et dans L'Empire des anges, mais également des thèmes récurrents, comme « l’Arbre des possibles » d’Isidore Katzenberg, ou encore le roman Nous les dieux, reprenant des éléments de la nouvelle L’École des jeunes dieux.

Dans deux romans, Bernard Werber décrit des auteurs de littérature. Ainsi sont présentés des auteurs qui, à la fin de leur vie, écrivent un dernier livre qui donne un sens à l’œuvre entière de Werber. En ayant préalablement noté une certaine similitude des personnages, des thèmes et du style de son œuvre, on peut en conclure qu'il essaye de donner une certaine cohérence aux idées qu’il développe.

Depuis 1996, Bernard Werber a décidé de sortir un livre par an, chaque début d'octobre, avec à ce jour deux exceptions : 1999 et 2011, où ne sont sorties que des bandes dessinées. Après la rentrée littéraire, l’objectif est de « proposer au public autre chose que de possibles prix Goncourt »[27].

Bernard Werber est membre d'honneur de l'Institut de recherche sur les expériences extraordinaires, une association ayant pour vocation la sensibilisation des professionnels en santé mentale, des médecins et des soignants en général, aux expériences extraordinaires ou inhabituelles.

« Il est temps de sortir des clivages bipolaires habituels avec un monde officiel et un monde irrationnel. Il y a des faits, il y a des événements et il importe d’en parler normalement sans passion, ni exclusion systématique. Le monde n’est pas dans une simple dichotomie « j’y crois — j’y crois pas ». Il y a la place pour une troisième voie qu’on pourrait résumer à une phrase : « je ne peux pas encore l’expliquer mais ça ne m’empêche d’y réfléchir et de voir si cela ne pourrait pas avoir une utilité. »[28] »

— Bernard Werber, Soutien à l'INREES

.

Cette approche se reflète dans le contenu de ses romans, tels que par exemple Les Thanatonautes qui propose une version spiritualiste des expériences de mort imminente, ou encore Nos amis les humains (une pièce de théâtre) qui raconte un récit d’enlèvements par les extraterrestres. La science, le paranormal et la spiritualité influencent ainsi nombre de ses romans.

Accueil critique

Bernard Werber est l'un des auteurs français les plus lus dans le monde[29]. Il est particulièrement populaire en Corée du Sud[30]. L'Écho républicain dit de lui qu'il est un « auteur au succès incontesté »[31].

Néanmoins, son œuvre est peu commentée par la critique[32]. Il lui est reproché, selon L'Express, « une écriture rapide, brutale, qui vise l'efficacité au détriment du style mais qui trop souvent bascule dans le simplisme et les clichés »[33].

En particulier, certains critiques reprochent à ses romans de science-fiction de présenter certains concepts d'apparence scientifique comme des certitudes alors que ce n'est pas le cas. L'Ultime Secret illustre bien cette tendance, on peut y lire sur la quatrième de couverture la phrase suivante : « Ils vont aller de surprise en surprise jusqu’à l’extraordinaire dénouement basé sur une découverte scientifique peu connue mais réelle ». D'autres critiques assimilent la futurologie à de la pseudo-science[34], l’œuvre intitulée L'Arbre des possibles y étant définie comme un recueil de nouvelles de science-fiction[35].

Certaines critiques dépassent le simple scepticisme. La petite revue spécialisée en littératures de l'imaginaire Bifrost est ainsi particulièrement négative[Note 1].

D'autres critiques sont au contraire très laudatifs : François Busnel, dans sa chronique du 14 novembre 2012 dans L'Express, qualifie ainsi Bernard Werber de « visionnaire dont nous avons besoin »[36]. Aujourd'hui en France le qualifie de « Jules Verne moderne » dans son dossier Dans l'intimité de Werber du 4 octobre 2012[37].

Symbolique

Bernard Werber utilise diverses symboliques dans ses livres. Les animaux comme les dauphins, les rats ou les fourmis sont représentés comme des animaux intelligents. La symbolique des chiffres tient également une grande place et, selon la façon dont ils sont expliqués, ils reflètent « le stade de l’évolution de l’âme ». C'est notamment durant la lecture du cycle des Dieux, dans lequel les apprentis-dieux vont se retrouver chargés de guider un groupe d'humains qui vont se choisir un animal-totem, que l'on se rend compte à quel point Bernard Werber donne une signification implicite aux animaux.

Œuvres

Livres

Romans

Cycle des Fourmis
Pentalogie du ciel : Cycle des anges
Pentalogie du ciel : Cycle des dieux

Cette trilogie fait suite au Cycle des anges.

Cycle Aventuriers de la science
Cycle Troisième Humanité
Cycle des chats
Romans indépendants

Nouvelles

Livres expérimentaux

Bandes dessinées

CD

  • Bernard Werber, le conteur du futur (un CD), 2010
  • L'Éveilleur (deux CD audio), 2010

Films

Pièces de théâtre

  • Nos amis les humains, 2003 mise en scène en 2004 par Jean-Christophe Barc et interprétée par Audrey Dana et Jean-Christophe Barc. La captation a été effectuée le mercredi à Annonay
  • Bienvenue au paradis, 2011 mise en scène en 2011 par Jean-Christophe Barc et interprétée par Thierry Liagre. La captation a été effectuée le jeudi à Bordeaux

Peintures

Bernard Werber a peint quelques tableaux, présentés sur son site officiel[52].

  • Et si on s'arrêtait là pour dormir ?, février 1995
  • Accouchement sans douleur, avril 1995
  • En avant pour de nouvelles aventures, avril 1995
  • Ouro Boros, l'infini guette les villes, mai 1995
  • Le Dieu poisson fait des vagues, juin 1995
  • Berechit, août 1995
  • Un lapin ambitieux, mai 1997
  • La réalité, juillet 1997
  • Derrière les apparences, juillet 2002
  • Envol de nuit, août 2005

Préfaces

Autres

Sur son œuvre

Notes et références

Notes

  1. La revue Bifrost qui décerne chaque année des Razzies, a ainsi intitulé en 2010 le Razzie pour la catégorie Roman francophone « Prix Bernard Werber du pire roman francophone », « Razzies 2010 : le prix du pire ! », (consulté le ).

Références

  1. Claudie Voisenat et Pierre Lagrange, « Bernard Werber, la philosophie-fiction ou le Nouveau Nouvel Age ? », sur Bouddhanar, (consulté le ).
  2. « Quel âge a Bernard Werber ? » (consulté le )
  3. « Bernard WERBER - Un écrivain sensible à la musique », sur www.mastersynth.com (consulté le )
  4. « Bernard Werber: "J'étais un gosse introverti, nul en sport avec de mauvaises notes à l'école" », sur Femme Actuelle (consulté le )
  5. « BLOG - Comment l'écriture m'a aidé à surmonter la maladie », sur Le Huffington Post, (consulté le )
  6. « 12 -COMMENT J'AI DECOUVERT A 13 ANS LE YOGA. HISTOIRE REELEMENT VECUE N°12. », (sic), sur Bernard Werber, site oficiel (consulté le )
  7. Axel Leclercq, « Braqué par un homme en sang à 14 ans, Bernard Werber raconte l’épisode qui a changé sa vie ! », sur POSITIVR, (consulté le )
  8. « Bernard Werber », sur Léléphant - La revue de culture générale, (consulté le )
  9. « [http://www.bernardwerber.com/blog/index.php?article=635 10 -�COMMENT JE SUIS DEVENU RACONTEUR D'HISTOIRE EPISODE 02. LE JOURNAL DE LYCEE ET LA PREMIERE EBAUCHE DES FOURMIS] », sur Bernard Werber, site oficiel (consulté le )
  10. France Inter, « Texte inédit : Bernard Werber rend hommage à ses profs de français (et à la science-fiction) », sur www.franceinter.fr, (consulté le )
  11. « 11 - “COMMENT JE SUIS DEVENU RACONTEUR D'HISTOIRE" EPISODE 03. «ETABLIR UN SUSPENSE BASE SUR LA FRUSTRATION» », sur Bernard Werber, site oficiel (consulté le )
  12. « Biographie - version détaillée », sur site officiel de Bernard Werber (consulté le )
  13. noocontact@noosfere.com, « Le Jour des fourmis, Bernard WERBER », sur www.noosfere.org (consulté le )
  14. « Décryptage de 7 oeuvres de Bernard Werber », sur 7*7
  15. « [http://www.bernardwerber.com/blog/index.php?article=599 02 - RIMBAUD ET LES SUSHIS. MAI 1994. TOKYO. (HISTOIRES EXTRAORDINAIRES QUE J�AI REELLEMENT VECUES. Num�ro 2).] », sur Bernard Werber (consulté le )
  16. « Bernard Werber plagié par Disney et Dreamworks », sur youtube
  17. « Toulouse. Bernard Werber: les morts, les anges, et les dieux », sur ladepeche.fr (consulté le )
  18. « L'arbre de Possibles », site de futurologie découlant d’une idée de Bernard Werber : à tracer un arbre des futurs possibles de l’humanité, sur arbredespossibles.com (consulté le ).
  19. 7x7, « Décryptage de 7 oeuvres de Bernard Werber », sur 7*7
  20. « Bernard Werber: "Ma place, je l'ai trouvée en racontant des histoires" », sur NotreTemps.com (consulté le )
  21. « Bernard Werber raconte sa love story avec une fan », sur voici
  22. « vendre 30 millions de livres dans le monde, ça ne se fait pas tout seul »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  23. « Ombre et Lumière 2006 » [vidéo], sur Dailymotion
  24. Fabrice Nodé-Langlois, « Bernard Werber, fourmis et caviar », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Bernard Werber : "Un écrivain ne peut pas rester dans sa tour d'ivoire" », sur LCI (consulté le )
  26. Bernard Werber, « Bernard Werber - Sur scène », site officiel (consulté le ).
  27. Bénévent Tosseri, « Un été de rencontres », La Croix,‎ .
  28. « Intervenants : Bernard Werber, écrivain et réalisateur » (consulté le ).
  29. « Entre nous soit dit - Bernard Werber, l'un des romanciers les plus lus », sur Radio télévision suisse, (consulté le ).
  30. (en) Jin Eun-soo, « Haruki Murakami most-read foreign novelist in Korea: poll », The Korea Herald,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Claire Castillon, « L'Interview », L'Écho républicain,‎
  32. « Werber, les médias, le numérique et son roman participatif »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  33. François Busnel, « Le cas Werber », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Votre futur se lit dans les arbres » (consulté le ) : « attiré par la futurologie, cette pseudo-science étudiant les différents futurs possibles ».
  35. « L'Arbre des possibles » (Albin Michel, ) sur le site NooSFere
  36. François Busnel, « Le retour de Bernard Werber », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Aujourd'hui en France, 04/10/2012, LP et Olivier Lejeune « Dans l'intimité de Werber ».
  38. Bernard Werber avoue avoir un penchant pour ce livre, qui fut pourtant un échec commercial lors de sa sortie grand format, le succès étant venu avec la version de poche. Sur son Site officiel, il a déclaré avoir écrit quelques passages de ce livre en écriture automatique : « Certains passages ont été écrits en écriture automatique. C'est-à-dire qu'il n'y avait pas d'intention d'intégrer le récit à une intrigue, mes doigts couraient tout seul sur le clavier et je relisais après pour découvrir ce que j'avais écrit. »
  39. Nouvelle écrite sur Internet, prélude à la nouvelle Apprenons à les aimer dans L'Arbre des possibles « Leçon des choses »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  40. Paru dans J'ai lu en 1996, puis publié dans Genèses (recueil de nouvelles) en 1999, prélude à la nouvelle Noir dans L'Arbre des possibles
  41. Fait partie du recueil de nouvelles Fantasy sorti chez Fleuve noir
  42. [lire en ligne]
  43. Fin alternative de la nouvelle homonyme parue par la suite dans L'Arbre des possibles
  44. Nouvelle parue dans le Senso d’ où l'on retrouve Lucrèce Nemrod (voir la page « Un peu + » sur le site de l’auteur) [lire en ligne]
  45. [lire en ligne] paru dans Muze, prélude à la nouvelle Un amour en Atlantide dans Paradis sur mesure
  46. Nouvelle parue dans l'anthologie Complots Capitaux (collection Néo)
  47. Nouvelle parue en 2010 sur le livret de Bernard Werber, le conteur du futur
  48. [lire en ligne]
  49. Nouvelle parue en automne dans le magazine de l'INREES No 24 : "Inexploré"
  50. Nouvelle parue dans le recueil 13 à table !
  51. « La cité de tous les avenirs, de Bernard Werber » (consulté le ).
  52. Galerie de peintures sur le site officiel de Bernard Werber.
  53. Page IMDb
  54. Nicolas Penedo, « La fin du monde en série », sur AnimeLand, (consulté le ).
  55. L'auteur revisite Nous les dieux, Le Père de nos pères, et incorpore Les Enfants d'Ève. On suit les aventures de Daniella, une jeune Belge, qui emboîte le pas de Bernard Rewerber pour une enquête policière où s'invite le fantastique.

Annexes

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